chroniques littéraires
La Huitième Couleur de Terry Pratchett, Pocket |
Dans l'espace intersidéral, la Grande A'Tuin, tortue gigantesque, transporte sur sa carapace 4 éléphants portants eux-mêmes sur leur dos le farfelu disque-monde où cohabitent humains et créatures de légende. Lorsque Deuxfleurs, touriste insouciant et premier du genre, débarque à Ankh-Morpork, ville la plus malfamée du disque, il ne se doute pas des dangers qui le guettent. Escorté par Rincevent, le mage le plus incompétent du disque, il va vivre une expérience unique et totalement inédite dans le monde des tour operators (c'est le moins que l'on puisse dire !). Premier volume des annales du disque monde, "La huitième couleur" donne tout de suite le ton: celui de la dérision. Ainsi Terry Pratchett nous plonge-t-il littéralement dans un univers délirant peuplé de fidèles coffres de voyages carnassiers, de héros intéressés, d'épées magiques snobinardes et de dieux de mauvaise foie (!)Même si ce roman n'est pas le meilleur de la série ( après des débuts en fanfare, le rythme s'essouffle quelque peu), on passe un excellent moment à suivre les aventures de Rincevent et Deuxfleurs jusqu'au rebord du disque. Il est si rare de rire au cours d'une lecture que je ne peux que vous conseiller ce roman. éditions Pocket, 267 pages Diégue
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